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 Le canadien peut-il faire pire en 2007 ?

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DG JETS
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DG JETS


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MessageSujet: Le canadien peut-il faire pire en 2007 ?   Le canadien peut-il faire pire en 2007 ? EmptyMer 11 Avr 2007 - 17:19

J'ai fait plusieurs post concernant Gainey,on m'a traité d'anti -Gainey mais là, Gainey est confirmé dans ses fonctions et il veut continuer,aussi bien l'endurer...Peut-il faire pire?

Texte datant du 3 mars 2007.

Bob Gainey: sons de cloche alarmants

Mathias Brunet

La Presse

Sensationnalisme. Démagogie. Opportunisme.

De nombreux lecteurs ont très mal réagi à la critique d'hier envers Bob Gainey: «Des révélations troublantes».

Plusieurs me reprochent d'avoir exagéré les propos de Brian Burke. D'avoir profité du fait que les critiques soient défavorables à Gainey ces jours-ci pour saisir l'occasion de l'écorcher.

Deux mots d'abord sur les révélations de Burke. Qu'un DG comme Gainey omette de rappeler un collègue qui s'intéresse à un de ses défenseurs constitue une gaffe de taille. Ne serait-ce que pour sonder vraiment son intérêt, et voir jusqu'où Burke serait prêt à aller. Même si l'échange avec les Sharks de San Jose était alléchant. Le coup de fil aurait pris à peine quelques minutes.







Ce qu'il y a de dérangeant dans l'histoire, c'est que Burke a bien voulu partager ses expériences avec le public. Mais combien d'autres directeurs généraux de LNH, silencieux, ceux-là, auraient peut-être espéré un rappel de Gainey?

Comment un directeur général, dont la qualité primordiale consiste à jouer au futé, peut-il se permettre de ne pas profiter de la moindre occasion pour tenter de tirer le maximum de chaque situation?

Il n'est jamais agréable de critiquer un homme de la taille de Bob Gainey. Voilà quelqu'un qui en impose, qui incarne des valeurs justes, un homme avec qui j'ai toujours eu d'excellents rapports professionnels.

Questions sans réponse

Mais cet article mûrissait depuis un bon moment. J'ai eu un premier son de cloche alarmant lors de l'un des premiers meetings de Bob Gainey avec des journalistes du beat, au camp d'entraînement de l'équipe à Tremblant, en octobre 2003, quelques mois après son embauche. Gainey nous avait répondu avec beaucoup d'aplomb dans l'ensemble, mais certaines de nos questions plus pointues en rapport à des détails de la convention collective et certains espoirs de l'organisation étaient restées sans réponse. Au moins, Gainey avait eu l'honnêteté de dire qu'il ne savait pas et qu'il allait s'informer.

Je me rappelle qu'en quittant la pièce, des collègues et moi nous étions regardés avec étonnement. Nous ne pouvions croire qu'un DG précédé d'une telle réputation ne puisse répondre à certaines de nos questions. Mais bon, on se disait qu'un DG ne pouvait pas connaître tous les détails de la convention, et il n'avait pas un adjoint administratif pour rien, et qu'il ne pouvait pas connaître tous les jeunes de l'organisation. Et après tout, n'avait-il pas pris une année sabbatique depuis son départ de Dallas? Ça contrastait avec son prédécesseur, André Savard, qui avait réponse à tout, ou presque, dans le domaine du hockey, mais il fallait donner une chance au coureur de se remettre dans le bain.

D'ailleurs, Gainey a opéré avec doigté au cours des mois qui ont suivi en remettant à leur place les «bourreaux» de Patrice Brisebois et en imposant certaines mesures qui ont semblé donner plus de vigueur aux joueurs. La saison a été bonne dans l'ensemble, il a acquis Alex Kovalev à la date limite des échanges et le Canadien a franchi une ronde en séries. Puis il y a eu le lock-out.



Savard en colère



Deuxième son de cloche alarmant en octobre 2004. Le hasard a voulu que je me trouve en reportage à Hamilton le jour où François Beauchemin a été perdu au ballottage. Je me souviens de la colère d'André Savard, qui avait été relégué au poste de DG des Bulldogs. Beauchemin n'avait alors qu'un seul match de la LNH dans le corps, mais Savard devait voir quelque chose en lui parce qu'il était d'une humeur exécrable.

Savard m'expliquait qu'il aurait été simple comme tout de faire signer à Beauchemin une entente de la Ligue américaine de façon à le faire jouer dans les mineures pendant le lock-out sans risquer de le perdre au ballottage. Le Canadien avait d'ailleurs procédé de cette façon avec Jason Ward et Ron Hainsey.

Je pouvais comprendre la colère de Savard, dont la plus grande fierté avait toujours été de ne pas céder ses meilleurs jeunes à d'autres clubs. Il avait été critiqué en envoyant Éric Chouinard aux Flyers, mais le choix de deuxième ronde obtenu en retour a permis de mettre la main sur Maxim Lapierre. Les autres, Chris Dyment, Matt Carkner et compagnie, n'ont rien fait ailleurs. Alors perdre Beauchemin à cause d'une opération de routine qui n'avait pas été remplie?



Huet, connais pas



Gainey a réalisé un coup de maître au cours de l'hiver 2005-2006 en arrivant à échanger José Théodore à l'Avalanche du Colorado et ainsi économiser des millions. Mais il a eu un commentaire dérangeant quelques semaines plus tard au sujet du brio de ses hommes de hockey dans l'acquisition de Cristobal Huet: «Je dois leur accorder le mérite parce que je ne connaissais pas Huet.» Comment un DG de la LNH peut-il ne pas connaître le gardien régulier des Kings de Los Angeles? Pensez-vous que Lou Lamoriello ne connaît pas le nouveau gardien des Blue Jackets de Columbus? Il a dit la même chose de Steve Bégin.

Autre son de cloche alarmant: au camp d'entraînement en septembre dernier, lorsque j'interroge Gainey au sujet de l'extraordinaire jeune défenseur Jack Johnson, que les Hurricanes de la Caroline songent à échanger. Gainey répond qu'il donnera sans doute un coup de fil à son homologue Jim Rutherford pour s'enquérir de la disponibilité du jeune homme. J'étais heureux que Gainey accepte de me répondre à ce sujet, mais un peu abasourdi d'apprendre qu'il n'avait pas encore téléphoné à Rutherford puisque Johnson était sur le marché, et c'était connu, depuis au moins deux semaines. N'est-ce pas son travail de bondir sur son téléphone à la moindre occasion de ce genre?

Ces sons de cloche ne sont pas nécessairement dramatiques au point de faire couler à pic un club- quoiqu'on ne sache jamais, mais assez pour parfois rater des coups fumants, et perdre des joueurs importants.

La sortie de Brian Burke, bien qu'éthiquement déplorable, n'a fait que s'ajouter aux doutes déjà présents.

On rêverait d'avoir la version des faits de Gainey, mais celui-ci n'a pas voulu s'adresser aux médias depuis mardi, jour limite des transactions.

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- Après l'élimination du club ,Gainey ajoute en conférence de presse qu'il ne voulait pas acquérir Ryan Smyth ou Tkachuk car il n'était pas certain si ses joueurs pouvaient les aider,il pensait que la solution pouvait venir de l'extérieur.Or j'aimerais bien entendre les commentaires de Islanders au sujet de Smyth qui eux pariticipent aux séries.....

-Concernant Alex Kovalev,il mentionne qu'il parlera de son rôle au sein de l'organisation comme si personne n'était au courant.Un de ses anciens coachs a déjà dit de lui que Kovalev deviendra un bon joueur le jour où il comprendra que le hockey est un sport d'équipe.Or il va probablement changer ,bien oui...
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